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• Je suis fière de ma réalisation! Au début de l’activité, après avoir lu le court texte sur la bête choisie, soit Macazéo, je me suis demandé comment j’allais pouvoir créer celle-ci avec les matériaux disponibles à l’atelier tout en respectant ses caractéristiques. J’ai décidé de me baser sur les caractéristiques principales de l’animal, celles qui me semblaient les plus importantes (poil s’apparentant à celui du renard et pattes différentes : une d’ours et l’autre, un sabot de cerf). N’ayant pas trouvé de fourrure de couleur rousse/brune pouvant s’apparenter à celle du renard, j’ai pris un cuir qui avait la teinte que je recherchais. Pour les pattes, j’ai pris deux ossements différents, un plus gros pour la patte d’ours et l’autre plus petit pour le sabot de cerf. Je suis assez contente du résultat.

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• Je me suis sentie amusée. En faisant cet atelier comme des élèves du primaire venant au musée pourraient faire, j’ai eu du plaisir. Même si la colle ne tenait pas tous les morceaux de ma création en place et que j’en avais plein les doigts, j’essayais de me mettre à la place d’un enfant ou d’une jeune et je crois que ceux-ci s’amuseraient malgré tout. J’ai donc apprécié cette activité.

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• Ce que j'ai appris lors de cet atelier, c'est que tout le monde a une vision différente de l’art et que quelqu’un peut très bien percevoir quelque chose comme une œuvre, alors que moi, non.  En effet, l’art de Domingo Cisneros ne me rejoignait pas. Par contre, tout le processus de réalisation par lequel il a dû passer pour créer ses œuvres était pour moi, une forme d’art. Lors de l’atelier où nous devions alors nous-mêmes recréer les bêtes avec comme guide, les légendes de Cisneros, je me suis alors prêtée au jeu, même si l’intérêt me manquait. Par contre, au fil de l’activité, je me suis amusée et j’ai compris que tout le monde a une vision différente de l’art et que nous devons respecter celle-ci.